1 eois protestant soit actuellement le type même du capitaliste conservateur. En réalité, dans ses pires errements, le protestantisme

2 a confondu sa cause avec celle de la bourgeoisie capitaliste . Mais c’est un parti de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veul

3 ial chrétien qui s’opposerait au désordre actuel, capitaliste ou marxiste. Car la révolte du chrétien est immédiate, indubitable ;

4 déjà que le roman bourgeois servait à toutes fins capitalistes . Nous risquons de voir, avant peu, cette même littérature « mise au p

5 tombent fatalement sous la coupe de la publicité capitaliste  ; et d’autre part, les intellectuels jetés au chômage par la crise —

6 lus dur que celui qui existe encore dans les pays capitalistes . L’avantage d’une commune mesure donnant un sens aux moindres tâches

7 atz de commune mesure, dans les régimes bourgeois capitalistes , c’était l’argent. Mais le crédit s’écroule, et la mesure devient le

8 is la légitimité de la propriété. — Dans le monde capitaliste des monopoles privés, la personne humaine, cette grande force spiritu

9 re fort au-dehors. L’esprit bourgeois, l’économie capitaliste , une paresse spirituelle entretenue tyranniquement par nos écoles, la

10 ent en dehors d’eux », c’est-à-dire sur des bases capitalistes , nationalistes et libérales, avec quelques emprunts au christianisme.

11 les idéaux de progrès collectiviste ou de progrès capitaliste qui ont quitté notre continent, mais, à leur suite, les espoirs et le