1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 plus fort des États dans son absence complète de centralisation . Ne cherchez pas la preuve dans des considérations théoriques. Dites-
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 dernières jouaient évidemment dans le sens d’une centralisation toujours plus poussée. Aussi, durant le siècle de paix que valut à la
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 , comme l’observe A. Gasser « un instrument de la centralisation  ». En Suisse, au contraire, les droits de la commune ne sont limités
4 er que dans la mise en commun de leurs forces. La centralisation qu’ils acceptent dans certains domaines, strictement définis, n’est d
5 rché plutôt dans l’attitude des députés devant la centralisation croissante de la Confédération. Certes, l’autonomie des cantons n’est
6 ux guerres mondiales ont accéléré le processus de centralisation économique. Elles ont amené l’une et l’autre le régime des pleins pou
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
7 l’a-t-il protégée dans une large mesure contre la centralisation exercée par Paris. Littérairement, le Romand est un Français, s’il at