1 j 1. La formule de l’État-nation intégralement centralisé et de souveraineté absolue pose aujourd’hui l’obstacle majeur à toute

2 res, des guerres de Napoléon qui l’a consolidé et centralisé en vue de la guerre et de la mobilisation. Cette formule de l’État-na

3 s grand » suppose, qu’on le veuille ou non : très centralisé . « Très cher » implique l’intervention de l’État dans les investissem

4 ur les radios et sur la télévision, l’État-nation centralisé ou le dictateur. Mais qui peut lui répondre dans l’assemblée des homm

5 vices fondamentaux du capitalisme, de l’étatisme centralisé , du nationalisme et de la mystique de l’« État-nation » (terme forgé

6 Ils étaient tous pour l’État d’abord, unitaire et centralisé  : « Ein Volk, ein Reich, ein Führer » (un peuple, un empire, un chef)

7 en France surtout. Mais même dans la France ultra centralisée , modèle de l’État centraliste, il se développe des « syndicats interc

8 ifiée de l’homme que suppose la coutume française centralisée , et qui est foncièrement in-civique. Nous dénoncions le système napol

9 e en apparence, culmine dans un pouvoir absolu et centralisé , résidant à Moscou. La Constitution de 1924 Elle traduit la for

10 iste, et de subordonner l’État fédératif au Parti centralisé , dès qu’on en vient aux décisions opérationnelles. Quelques exemples

11 parce qu’elles impliquent un État de plus en plus centralisé et policier. D’ailleurs, je doute qu’on continue à en construire et q