1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 mposait, d’autant plus que par réaction au statut centralisé dont on venait de les délivrer, les cantons multipliaient les mesures
2 ntre les membres de l’alliance, ou d’une tyrannie centralisée destinée à masquer cette division. C’est peut-être en fin de compte
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 ’être jamais devenus des États bureaucratiques et centralisés , mais d’être restés jusqu’à nos jours des États populaires, fondés su
4 rente-deux ans. Dans tout autre pays de structure centralisée , cette inamovibilité pratique de l’exécutif eût conduit fatalement et
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
5 ressive vers la capitale, si typique de la France centralisée , est inconnu en Suisse, puisque aucune des sept universités ne saurai
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
6 res que celles qu’on peut rencontrer dans un pays centralisé . Le moindre morceau de la Suisse qu’un de nos voisins voudrait s’anne
7 incial » au regard de l’Allemagne, beaucoup moins centralisée que la France en ce domaine. Dès le xviiie siècle, elle a tenu sa pa