1
sé déjà l’érection d’un « Palais de l’Esprit » au
centre
de l’Exposition de 1937 ? On se demande non sans angoisse ce que ces
2
sorte que sa plainte ou son triomphe constitue le
centre
même de son œuvre, et non plus sa réussite émouvante ou flatteuse, ma
3
ale : que tout notre désordre vient de ce que les
centres
auxquels se rapportaient jusqu’à présent la société, l’État, les lois
4
ois, la pensée et l’action, n’étaient pas le vrai
centre
de l’homme, qui est la personne ; et que pour cette seule raison, la
5
t le but de la révolution européenne : ramener le
centre
de toutes choses au centre de l’homme même, à la personne. Mais cette
6
uropéenne : ramener le centre de toutes choses au
centre
de l’homme même, à la personne. Mais cette révolution est la plus dif
7
l’expression des rapports personnels. Elle a son
centre
en chacune des personnes qui la composent, et ne peut pas être défini
8
peut pas être définie par autre chose que par ce
centre
(par exemple, par l’État, ou par le Parti). Elle est le rayonnement d
9
oi et moi. Par ces voies, nous sommes parvenus au
centre
des problèmes du monde moderne, en même temps qu’au foyer rayonnant d
10
’il aboutisse ou qu’il échoue — pour situer en ce
centre
de l’homme le centre de la société, préfigurent dès maintenant la con
11
l échoue — pour situer en ce centre de l’homme le
centre
de la société, préfigurent dès maintenant la conquête et l’effort ult