1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 sé déjà l’érection d’un « Palais de l’Esprit » au centre de l’Exposition de 1937 ? On se demande non sans angoisse ce que ces
2 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
2 sorte que sa plainte ou son triomphe constitue le centre même de son œuvre, et non plus sa réussite émouvante ou flatteuse, ma
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
3 ale : que tout notre désordre vient de ce que les centres auxquels se rapportaient jusqu’à présent la société, l’État, les lois
4 ois, la pensée et l’action, n’étaient pas le vrai centre de l’homme, qui est la personne ; et que pour cette seule raison, la
5 t le but de la révolution européenne : ramener le centre de toutes choses au centre de l’homme même, à la personne. Mais cette
6 uropéenne : ramener le centre de toutes choses au centre de l’homme même, à la personne. Mais cette révolution est la plus dif
7 l’expression des rapports personnels. Elle a son centre en chacune des personnes qui la composent, et ne peut pas être défini
8 peut pas être définie par autre chose que par ce centre (par exemple, par l’État, ou par le Parti). Elle est le rayonnement d
9 oi et moi. Par ces voies, nous sommes parvenus au centre des problèmes du monde moderne, en même temps qu’au foyer rayonnant d
10 ’il aboutisse ou qu’il échoue — pour situer en ce centre de l’homme le centre de la société, préfigurent dès maintenant la con
11 l échoue — pour situer en ce centre de l’homme le centre de la société, préfigurent dès maintenant la conquête et l’effort ult