1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 trer que sa doctrine représente, en sa pureté, le centre et l’axe même de la notion chrétienne de la personne, à la fois libre
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
2 plutôt une Suisse culturelle pluraliste, avec ses centres successifs ou parfois même simultanés, offrant un asile provisoire au
3 remarquable Revue de Genève de Robert de Traz ; centre du renouveau calviniste ; laboratoire de pédagogie (Institut Rousseau
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
4 n, au jour choisi par l’attaquant, parce que, des centres vitaux du pays, les ordres seront déjà donnés dans la langue de l’env
5 de L’Europe entière.32 » Et j’en arrive, ici, au centre même de tout ce que je voulais vous dire aujourd’hui : le seul moyen
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
6 t des siècles, la Confédération n’a donc point de centre légal, de capitale, ni de constitution. Elle ne connaît et ne tolère
7 ar un cerveau et, à partir d’une seule idée, d’un centre abstrait. Je définirais même le fédéralisme comme un refus constant e
8 ersonnalisme n’est pas une moyenne, un « parti du centre  », un juste milieu entre l’individualisme atomisant et le collectivis
9 ibres pour les peuples et les princes les cols du centre de l’Europe. Mission pratique, devenue symbolique. Désormais, il nous
5 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
10 amme que la défense des intérêts locaux contre le centre . Ceux qui se disent, chez nous, « fédéralistes », ne sont souvent, je