1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 ce à 80 km plus à l’est.) Le Gothard n’est pas le centre géométrique du pays — celui-ci s’étendant surtout vers l’ouest et le
2 ècles trois autres réseaux d’alliances ayant pour centre l’un le pays d’Appenzell au nord-est, le second Berne et une partie d
3 uvre et compartimenté contraignait les paysans du centre à un travail d’équipes, à l’entraide mutuelle. La mission politique q
4 arde les cantons. Son rêve était de constituer au centre du continent un grand État qui eût englobé la Bourgogne, la Lombardie
5 la Confédération avait su vivre sans capitale ni centre légal, et sans autre constitution écrite que les Pactes. Sa Diète, fo
6 voulut attaquer Zurich avec l’aide des cantons du centre , demeurés catholiques, Zwingli fut chargé du plan de défense. Vainque
7 hanges intellectuels : Bâle avec Érasme devint le centre des imprimeurs humanistes ; Zurich avec Zwingli, le centre de la Réfo
8 s imprimeurs humanistes ; Zurich avec Zwingli, le centre de la Réforme suisse ; Genève, avec Calvin, le centre de la Réforme i
9 re de la Réforme suisse ; Genève, avec Calvin, le centre de la Réforme internationale, dont l’influence devait s’étendre à la
10 s révoltes sans cesse renaissantes des vallées du centre finirent par convaincre Bonaparte qu’il était vain de persister dans
11 ent, à l’inverse, l’union des régions autour d’un centre , mais l’équilibre vivant entre les droits particuliers et les devoirs
2 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
12 ns « provinciale » qu’une autre. Chacune forme le centre intellectuel d’un petit pays, et se sent l’égale en qualité de ses vo
3 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
13 ’est ainsi que la secte des Amis de Dieu, dont le centre était à Strasbourg, comptait beaucoup de disciples chez les Suisses :
14 antes, cependant que les petits cantons ruraux du centre offrent peu de possibilités à l’immigration. Cette interpénétration g