1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 , sans Moi, ou avec un Moi qui n’est qu’un simple centre . L’homme magique, le corps magique n’a pas d’ironie ni de paradoxe, p
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 ébreux, s’est opérée « une fois pour toutes ». Ce centre du Credo est donc situé expressément dans la durée profane, celle de
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
3 mes plus à dessiner des cartes où l’Europe est le centre du monde — comme cela se fit encore au xve siècle —, mais je crois b
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
4 ience de l’espace D’un cosmos qui n’a plus de centre Parmi les plus anciennes mappemondes dessinées en Europe et qui su
5 Richard de Haldingham (vers 1300) placent en leur centre exact Jérusalem. La Méditerranée et ses environs — l’Europe à gauche,
6 ope méditerranéenne au symbole de Jérusalem comme centre du monde ; et la seconde supprime toute apparence de centre, soit rel
7 monde ; et la seconde supprime toute apparence de centre , soit religieux, soit géographique. Un peu plus tard, les premiers as
8 oin perdu, comme le sont tous les autres : car le centre est partout et nulle part, dans l’espace inimaginable défini par l’as
9 s océanes, et nous ouvrir le Nouveau Monde. Le centre du monde est dans l’homme Jamais Colón n’a su ce qu’il avait trouv
10 l pense à délivrer Jérusalem, qui est pour lui le centre du monde et l’Ithaque de son Odyssée : la patrie du salut, au-delà du
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
11 res de recherches nucléaires devenir aussitôt des centres d’attraction pour le capital, l’industrie, la spéculation bancaire et