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ique, mais bien allocentrique : « N’avoir plus de
centre
du tout, participer au monde sans réserve, sans rien garder pour soi,
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endant la représentation, on est immédiatement au
centre
, par ce que ce centre, qui est la vitalité de Don Juan, se trouve par
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on, on est immédiatement au centre, par ce que ce
centre
, qui est la vitalité de Don Juan, se trouve partout. » Le seul person
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tire les yeux fermés et atteint à chaque coup le
centre
de la cible. D’où mes allusions répétées à la technique du zen-bouddh
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tteindre le but sans le voir, placer la flèche au
centre
de la cible, les yeux fermés… Je pressentais maintenant ce que le zen
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lus de théâtre… Il s’agit de limites, d’abîme, de
centre
et d’absence de centre. Il s’agit également de la limite entre existe
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it de limites, d’abîme, de centre et d’absence de
centre
. Il s’agit également de la limite entre existence et poésie, ou de la
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le poil de la tortue, c’est-à-dire d’atteindre le
centre
de la cible sans arc (écaille) et sans flèche (poil), ce dernier est
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ui tire, dans l’obscurité, une première flèche au
centre
de la cible, puis une seconde qui perce la première. Il dit ensuite :
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stes où croissent les plantes d’immortalité », au
centre
du monde spirituel (qui est le monde réel des Archétypes), le pont Ch