1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 ique, mais bien allocentrique : « N’avoir plus de centre du tout, participer au monde sans réserve, sans rien garder pour soi,
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
2 endant la représentation, on est immédiatement au centre , par ce que ce centre, qui est la vitalité de Don Juan, se trouve par
3 on, on est immédiatement au centre, par ce que ce centre , qui est la vitalité de Don Juan, se trouve partout. » Le seul person
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
4 tire les yeux fermés et atteint à chaque coup le centre de la cible. D’où mes allusions répétées à la technique du zen-bouddh
5 tteindre le but sans le voir, placer la flèche au centre de la cible, les yeux fermés… Je pressentais maintenant ce que le zen
6 lus de théâtre… Il s’agit de limites, d’abîme, de centre et d’absence de centre. Il s’agit également de la limite entre existe
7 it de limites, d’abîme, de centre et d’absence de centre . Il s’agit également de la limite entre existence et poésie, ou de la
8 le poil de la tortue, c’est-à-dire d’atteindre le centre de la cible sans arc (écaille) et sans flèche (poil), ce dernier est
9 ui tire, dans l’obscurité, une première flèche au centre de la cible, puis une seconde qui perce la première. Il dit ensuite :
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
10 stes où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spirituel (qui est le monde réel des Archétypes), le pont Ch