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de ou du mythe de Tristan. C’est une descente aux
cercles
successifs de la passion. Le dernier livre indique une attitude humai
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i sont placés au chant XXIV du Purgatoire dans le
cercle
des sodomistes !61 Mais tout cela nous amène à reconnaître enfin la
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certaines obscurités de la littérature émanée des
cercles
franciscains et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du
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croit à la révélation de l’Agapè voit soudain le
cercle
s’ouvrir : il est délivré par la foi de sa religion naturelle. Il peu
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la mort qui s’en va par-delà les nuages jusqu’au
cercle
céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la maison de verre n’est p
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einte, la pensée de tous ceux qui vivent dans les
cercles
de la cour et de la noblesse est imprégnée de l’idéal chevaleresque.