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a Tchécoslovaquie. Le dénouement a été différent,
certes
. En 1914, la guerre a éclaté et l’Allemagne, au terme du conflit, n’a
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préside à la « description » qu’ils nous offrent.
Certes
, il est malaisé de se renseigner exactement sur le fonctionnement d’u
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et une fin, ce qui est la définition même du jeu.
Certes
, on ne peut pas passer directement des relations individuelles des am
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e « Grand Dessein » d’une fédération européenne ?
Certes
, les historiens attribuent à ces faits des causes politiques précises
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é. Tous les abus de pouvoir deviennent possibles.
Certes
, l’on crée des ersatz de personnes, de personnalités — des milliers d
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qui sont simplement « sortis » du protestantisme…
Certes
, nous pouvons nous réjouir que la foi réformée, même quand elle cesse
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jamais ses droits, même à l’intérieur du canton !
Certes
, la guerre étant intervenue, tout s’est trouvé suspendu à la veille d
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ous bien sûrs que réellement plus rien ne passe ?
Certes
, toutes ces barrières doivent suffire et suffiront pour arrêter les h
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aire, et qui sont un modèle pour l’Europe. » Oui,
certes
. Mais, en fait, que sont devenues ces libertés illustres et antiques,
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s bizarreries, ou simplement les idées imprévues.
Certes
, nous avons peu de polémiques personnelles : mais c’est peut-être moi
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dit-on, parce que les traités nous y forcent. Et
certes
, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les traités ne seront jamais
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lisme ? Le défendre, c’est d’abord nous défendre,
certes
, mais c’est aussi le répandre au-dehors, le propager, et préparer par
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e mourir. Notre histoire est celle de la liberté,
certes
, mais de la liberté menacée, conquise au prix des plus grands sacrifi
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nier par un décret. 13. Neutralité perpétuelle. —
Certes
, les premiers Confédérés déclarèrent que leur alliance devait, s’il p
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sure à prendre, si l’on veut sauver le pays. Oui,
certes
, plusieurs d’entre nous sont « marqués », mais qui ne l’est pas, s’il