1 s élites aussi qui ne sont pas moins contaminées. Certes , nous n’allons pas opposer aux campagnes massives et mécaniques des t

2 elle de la police qui ramène « dans la ligne » !) Certes , il y a d’autres liens entre les hommes d’Europe. Il y a leur héritag

3 ’une « passion » dont l’enjeu n’est pas clair. Et certes , les péripéties d’une telle passion peuvent bien suffire à l’intérêt

4 u’elle n’a point son équivalent chez Lawrence. Et certes , rien n’empêche d’imaginer que ce dernier, s’il eût vécu tranquille d

5 professeur Rappard. Ce que je préconise, ce n’est certes pas une européanisation de la Suisse, mais bien au contraire une helv

6 ravers l’histoire, nos grands amis politiques » ? Certes non ! Ce serait, pour le coup, renoncer à notre neutralité. Or, la ne

7 planète entière. « Petite Europe ? » La Sibérie, certes , est plus vaste… Il n’en résulte pas que la Grande-Bretagne, les Pays

8 s, que l’Occident doit ses plus belles créations. Certes , l’école par ses manuels d’histoire, le journal par son exploitation

9 a volonté de sauver nos libertés, et la jeunesse. Certes , on peut se demander s’il est bien sûr que la CED telle qu’elle est,

10 ope unie. Et M. Molotov lui-même propose un plan… Certes , on ne peut espérer faire l’Europe qu’en appliquant le fédéralisme, c