1 e. Comment interpréter cette courbe mouvementée ? Certes , tous les pays européens n’ont pas leur Mozart, leur Rembrandt, leur

2 ions la personne même de ceux qui s’y rattachent. Certes , il est plus facile de décréter sur table rase, de simplifier les réa

3 es ! Souveraineté fictive, dira-t-on ? Elle l’est certes en partie ; pas davantage toutefois que celle de nos États contempora

4 a réflexion critique et à la recherche objective. Certes , la question européenne n’est pas une question académique ! Elle n’ap

5 s suivront au cours des siècles jusqu’à nous, est certes significatif, et j’en examinerai les causes. Dans ce contexte, il s’a

6 uisse. Je diffère dans ce domaine de la majorité. Certes , je crois qu’une Europe fédérée sauverait seule à long terme nos chèr

7 plus étendues. La bombe A, puis la bombe H, n’ont certes pas amené le désarmement, ni même ralenti la production des armes con

8 me et la Nature, ma réponse est également double. Certes , et je l’ai dit en débutant, le progrès technique a consisté dès les

9 la liberté de l’individu, cette invention n’était certes pas la mieux adaptée à ses fins, ni la mieux calculée pour répondre à

10 l peut répondre à la curiosité d’un grand public. Certes , on n’en est encore qu’au stade de la prise de conscience du phénomèn

11 e qu’elle va constituer le premier stade, non pas certes de l’ordre nouveau fédéraliste, mais de la dissociation inévitable, à

12 érique, il retourne en Europe, une Europe en paix certes , mais qu’il faut reconstruire. Cette guerre qui vient de se terminer,

13 économiques, politiques, culturelles. Cela paraît certes compliqué, mais le problème se résoudrait facilement si on les admini

14 Souvenir, la Croix-Rouge est fondée à Genève. Et certes , il n’eût pas pu la fonder seul, sans Gustave Moynier notamment, homm

15 liste lentement mis au point par le xixe siècle. Certes , Dunant, pas plus que tant d’autres prophètes du même temps, Jakob Bu