1 ger des romans si bouillonnants, si mal équarris. Certes , ce n’est pas lui qui se refuserait à écrire — comme le fait son maît

2 es qu’elles illustrent. Les personnages discutent certes , mais leurs actions sont les meilleurs arguments. Et peu à peu surgis

3 ntre un ressaisissement profond et la ruine. Mais certes , il est temps qu’une lueur de conscience inquiète quelques chefs, mon

4 t immorales, tous les paradoxes, le chaos, etc. —  Certes , aucune époque ne fut à la fois plus morale et plus immorale, parce q

5 reuse offrait déjà une singulière préfiguration : Certes ce ne seront ni les lois importunes des hommes, ni les craintes, ni l

6 lui-même je le crains, pour renaître catholique.) Certes , il bannit le charme et toute grâce vaporeuse. Mais ses fleurs de cri

7 ut dans ses essais sur Proust, Pater et Stendhal. Certes , il était temps que l’on dénonce la confusion romantique de l’art ave

8 t air de rêverie d’un homme qui en sait long… Et, certes , il faut être un peu mage pour porter tant de richesses avec cette mé

9 s dont ils participent plus qu’ils ne le croient. Certes il était urgent de faire la critique de « cette réalité de premier pl

10 hypocrisie que la révolte rend moins sympathique, certes , mais plus réellement dangereuse. On sent bien ici que le critique a

11 mesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire, mais plus symbolique qu’efficace. Et sans lendemain. Ce mé

12 t le monde se réclame et dont personne ne vit… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur

13 des phrases, le rythme même de sa pensée. Parfois certes , un peu gêné par la lenteur de certains méandres, aimerait-on les sen