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le pas gagné… la réalité rugueuse à étreindre… »
Certes
, les sentences du vieil Olympien de la légende ont peu de consonance
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est croire que cette forme peut être transformée.
Certes
, nous ne pouvons agir « qu’en vertu de l’absurde » ; mais cela seul d
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mpher de la mauvaise humeur défensive des autres.
Certes
, on y a pensé. Les plus hardis parlent de rendre sa place à « l’espri
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Ce « moi pur » ne met pas en cause mon désespoir.
Certes
, je puis rêver mon idéale perfection, je puis rêver ma vocation et se
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la Grâce, incarnée, accomplie dans l’Histoire. Et
certes
, ce doute-là sera toujours inséparable de la foi, dans le concret d’u
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pseudonyme, voici que naît une angoisse nouvelle.
Certes
, le monde des corps, des sentiments et des idées demeure seul percept
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aard et chez Kafka le rôle possible de la foi. Et
certes
, je ne les ai confrontés, dans ces pages, que par le biais de leurs e
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es découvrir ? Au besoin à les inventer ? C. M. —
Certes
, mais ma dignité consiste à lutter contre de telles forces, une fois
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ngélique qu’individualiste, ou même rationaliste.
Certes
je m’en voudrais de critiquer une exigence d’honnêteté qui rappelle p
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s, de ces ricanements d’intellectuels mal guéris.
Certes
Ramuz a toujours beaucoup attendu du peuple russe, de « cette immense
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n, à l’équation fondamentale de sa vie, non point
certes
aux contingences et au décor de son apparition. Aussi bien la suite d