1 1948, Suite neuchâteloise. II
1 , où je reconnais bientôt ce que j’ai déjà vécu ? Certes , dans les deux cas, c’est moi que je découvre, puisqu’il s’agit d’un
2 1948, Suite neuchâteloise. IV
2 ait aux yeux de mon père indigne d’une pensée. Et certes , il n’en parlait jamais. Le peu que j’en dis l’eût gêné. Mais ce sens
3 1948, Suite neuchâteloise. VI
3 n jour, pour quelques heures, en face du lac ? Et certes , j’ai pensé à Gide, le plus fidèle de tous nos hôtes, en écrivant ces
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
4 es sapins, dans les vallées du Jura. J’y suis né, certes , mais les vraies patries sont celles où l’on naît à l’amour. Un portr