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es paysans suisses étaient des « hommes libres »,
certes
, mais le seigneur restait un seigneur sur ses terres et plusieurs des
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la centralisation croissante de la Confédération.
Certes
, l’autonomie des cantons n’est mise en question par personne. Elle re
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davantage l’histoire de la liberté humaine. Et
certes
, le tableau que nous venons d’esquisser des institutions et coutumes
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sé de 300 000 hectares en 1850 à 114 000 en 1914.
Certes
, les techniques agricoles se modernisaient, le confort des grandes fe
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ns décrit en parlant des institutions politiques.
Certes
, la lutte est serrée entre les libéraux et les dirigistes, comme elle
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gieuses, d’ailleurs vidées de leur sens originel.
Certes
, Calvin disait déjà : « La république est au collège. » Mais son coll
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gogues suisses et de leurs établissements privés.
Certes
, on a pu accuser certains de ces théoriciens de placer une confiance
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rival dans la psychologie analytique. Il y aurait
certes
beaucoup à dire sur la parenté inconsciente qui transparaît dans des
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vantage par son climat moral et ses institutions.
Certes
, l’esprit réalisateur et moderne de l’industrie et du commerce allema
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fédéralisme intégral illustre l’interdépendance.
Certes
, la volonté de se maintenir à l’écart des conflits armés, fussent-ils
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de ne pas faire sa part dans l’œuvre de la paix ?
Certes
, sa vocation la plus certaine ne saurait s’accomplir qu’à l’échelle d