1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 es paysans suisses étaient des « hommes libres », certes , mais le seigneur restait un seigneur sur ses terres et plusieurs des
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 la centralisation croissante de la Confédération. Certes , l’autonomie des cantons n’est mise en question par personne. Elle re
3 davantage l’histoire de la liberté humaine.  Et certes , le tableau que nous venons d’esquisser des institutions et coutumes
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
4 sé de 300 000 hectares en 1850 à 114 000 en 1914. Certes , les techniques agricoles se modernisaient, le confort des grandes fe
5 ns décrit en parlant des institutions politiques. Certes , la lutte est serrée entre les libéraux et les dirigistes, comme elle
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
6 gieuses, d’ailleurs vidées de leur sens originel. Certes , Calvin disait déjà : « La république est au collège. » Mais son coll
7 gogues suisses et de leurs établissements privés. Certes , on a pu accuser certains de ces théoriciens de placer une confiance
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
8 rival dans la psychologie analytique. Il y aurait certes beaucoup à dire sur la parenté inconsciente qui transparaît dans des
9 vantage par son climat moral et ses institutions. Certes , l’esprit réalisateur et moderne de l’industrie et du commerce allema
10 fédéralisme intégral illustre l’interdépendance. Certes , la volonté de se maintenir à l’écart des conflits armés, fussent-ils
11 de ne pas faire sa part dans l’œuvre de la paix ? Certes , sa vocation la plus certaine ne saurait s’accomplir qu’à l’échelle d