1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 e sous le bras ! Qu’en est-il de notre Occident ? Certes , l’Europe qui croit à l’absolue valeur de la personne dans chaque ind
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 ’à nous, c’est l’Aventure occidentale de l’homme. Certes la voie chrétienne n’y est pas seule active, mais elle fut décisive e
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
3 illustrer par grands pans d’histoire de l’Europe. Certes , nous n’en sommes plus à dessiner des cartes où l’Europe est le centr
4 rrières de classe, de nation, de race et de rang. Certes l’Église, sous toutes ses formes historiques, non romaines autant que
5 progressive refonte et une série de révolutions. Certes , on peut ne pas voir la personne invisible, mais si l’on refuse d’y c
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
6 monde fini, lieu de notre expérience salutaire ? Certes , mais il faut voir qu’un tel échec demeure spécifiquement occidental,
7 volutionnaires » au sens moderne de l’expression. Certes , l’Église, organisant les groupes de convertis créait un type nouveau
8 entera de l’annexer dans les occasions décisives. Certes , l’esprit national est un dieu bien réel, et que l’on croit vraiment,
9 pire sens du terme, au lendemain d’une révolution certes réelle mais importée. Il en va du nationalisme occidental « attrapé »
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
10 plir cette vocation unique du peuple d’Israël. Et certes , l’Évangile ignore absolument toute espèce de doctrine de l’Histoire 
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
11 profonds et de nos fins humaines sont là. Il y a certes la foi d’Abraham : Colón l’exalte en un passage sublime de sa lettre
12 verte européenne. L’amiral de la mer Océane était certes obsédé par l’Or. Pourtant l’or était loin de signifier à ses yeux ce
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
13 manifeste aux étapes décisives de notre science. Certes , on ne peut dire que le modèle théologique ait précédé la découverte
14 nde ou corpuscule en est l’exemple le plus pur55. Certes , il s’agit de phénomènes de même nature, et dont l’opposition ne résu
15 me qu’un athée ne pourrait pas faire de physique. Certes , beaucoup d’athées ont été physiciens, mais le mouvement créateur de
16 le témoignage de nos sens n’est pas vain : il est certes affecté d’erreur par le péché, mais il peut être corrigé par l’expéri
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
17 r « le libre développement de sa personnalité » ? Certes , elle l’oblige à peiner très durement dans nos climats occidentaux, p
18 ent de voir comment la technique y contribue, non certes par elle-même, mais bien par un certain usage que l’homme en fait. D’
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
19 ritable, restant le moi distinct, ou la personne. Certes , on peut assigner d’autres fins au Progrès, et nos élites européennes
20 erg et Picasso ? » se demandent-ils avec anxiété. Certes , le goût de différer est l’une des marques permanentes de l’Occident 
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
21 les remèdes aux maladies nées sur son sol. Elle a certes inventé la guerre totale, mais aussi conçu le pacifisme, l’idée chrét
22 l’idée chrétienne de condamner la guerre. Elle a certes créé le nationalisme, mais aussi l’idée fédérale ; l’individualisme a
23 du statut social) à celle des parias et coolies : certes moins dure matériellement, mais plus douloureuse moralement, du seul
24 , la première, en a pris une conscience non point certes unanime, mais particulièrement aiguë chez les meilleurs. Sa religion
11 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
25 e représentent la technique et les machines, peut certes y trouver le moyen de nourrir ses populations ; mais il risque aussi
26 e faim. Sauvez nos corps par vos techniques. » Et certes nous ne le refuserons pas : ce serait contraire à nos valeurs comme à