1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 la ressemblance de cette fille ravie. Le taureau certes , par lequel ils veulent qu’Europe fût portée, ne représente pas mal à
2 Japhet, et les esclaves, fils de Cham. Il n’est certes pas démontrable, mais possible, que la relation entre Japhet et l’Eur
3 tinents distincts, fait trop marquant qu’il n’eût certes pas négligé de mentionner. Et pourtant, il semble qu’Homère ait eu l
4 , que toute l’Europe édifia par une œuvre commune certes , mais grâce à une division du travail des mieux ordonnées (ordinatiss
5 mmença l’éclipse médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. Il faudra les menaces mongole et turque p
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
6 à décrire ses dures nécessités, comme Machiavel. Certes , pour Jean Bodin (1529-1596), dans sa Méthode pour faciliter la conna
7 universelle, que certains paraissent ambitionner… Certes , la Monarchie serait la meilleure des choses, s’il se trouvait un pri
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
8 il n’y penserait plus sans les Turcs. Ceux-ci ont certes assiégé Vienne en 1552, au grand effroi de la chrétienté. Mais don Ju
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
9 nouvelle … de l’Europe. D’une Europe relativisée, certes , mais mieux vue dans son unicité, et aussi dans son unité. Plus d’un,
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
10 e, motivent désormais la sécurité de l’Europe. Et certes il serait aisé de renverser, au nom des expériences de notre siècle,
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
11 sérieux, il n’y eut pas convergence mais conflit. Certes , les pionniers de l’Union américaine n’opposaient à l’Europe que les
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
12 tats, que relie entre eux un intérêt commun, peut certes vivre et se développer, si on l’a dotée d’une constitution de ce genr
13 elopper, disposant même les esprits en sa faveur. Certes , des événements imprévus autant qu’imprévisibles peuvent s’opposer au
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
14 e la Convention le titre de citoyen français : et certes , son cœur et son tempérament sont avec la Révolution, dont il partage
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
15 s leurs rapports avec la civilisation européenne. Certes , il n’y propose pas un plan d’union166, mais l’idée de l’Europe comme
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
16 a nous importent davantage que Kiev et Smolensk. Certes , les Russes, selon Ranke, ont bien mérité de l’Europe en la protégean
17 et la solution de la libération européenne.226 Certes , l’Angleterre bourgeoise ne manquerait pas de s’opposer à ce mouvemen
18 aliste. Telle est sa haute mission historique. Et certes , pour un théologien slavophile comme Vladimir Soloviev, la mission de
19 et feu » que le prince de Bismarck ? C’est alors, certes , si nous accomplissons cet exploit, que nous pourrons hardiment nous
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
20 mme un ensemble, en quelque sorte comme un État. Certes , Ranke a vu le danger beaucoup plus grave que représentent pour l’uni
21 e rechercher l’amitié de Burckhardt le mesuré. Et certes , ce dernier avait chaudement soutenu le jeune philologue prodige lors
22 inera la conception nietzschéenne du xxe siècle. Certes , il note dans ses cahiers inédits (à l’époque où il écrit Humain, tro
23 elles elles s’appliquaient : le nationalisme […]. Certes , les tendances nationales ont aussi servi la culture, en ce sens qu’e
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
24 tement dirigés contre l’Allemagne ; et ce ne sont certes pas les intellectuels autrichiens, ces opportunistes dénués de flair,
25 le début d’une ère de développement ininterrompu. Certes , nous sommes frappés par les signes négatifs, et nous croyons pouvoir
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
26 nt pas les meilleures — il s’en faut de beaucoup, certes  — mais elles sont, sans aucun doute, définitives tant qu’il n’en exis
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
27 vérité de tout ce que celui-ci lui présente.291 Certes , Christopher Dawson ne se contente pas de renvoyer dos à dos les deux
28 e pour nos valeurs et de les affirmer. … Il n’est certes pas facile de reconnaître ses torts et de rester malgré tout conscien
29 devient pour la conscience une vérité première. Certes , Keyserling ne sous-estime pas les dangers d’un « supranationalisme v
30 ’organisation, de l’ingéniosité organisatrice. Et certes , il faut une organisation, et plus elle sera parfaite, mieux cela vau
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
31 voit réduite ? Quelques-uns des petits États ont certes réussi à se relever, mais sur de vastes territoires des masses trembl