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ommets un « sacrilège » en tentant de l’analyser.
Certes
, ce reproche de sacrilège revêt alors un sens bien anodin, si l’on so
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oir le lecteur fermer le volume à cette page. (Et
certes
, le sens inconscient d’un tel geste n’est rien moins que la mise à mo
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oureuse, est un moyen privilégié de connaissance.
Certes
, cela vaut pour les meilleurs. Le grand nombre se soucie peu de conna
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n immédiate. Une réaffirmation de la vie, non pas
certes
de la vie ancienne, et non pas de la vie idéale, mais de la vie prése
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et un pur assemblage de formules vides de sens. »
Certes
. Mais là-dessus, l’auteur annonce qu’« en historien scrupuleux », il
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Plusieurs finirent leurs jours dans des couvents.
Certes
, et même un Folquet de Marseille a pu se joindre à la croisade des al
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ris de la femme d’un haut baron, qui le dédaigne.
Certes
, cela se vérifie dans quelques cas. Mais comment expliquer alors qu’u
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crivant la première édition de ce livre, mais qui
certes
ne gâtent rien ! La comparaison poursuivie pendant des centaines de p
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ystique revêt les formes les plus rudimentaires ?
Certes
, ce serait une sorte de blasphème s’il ne s’agissait dans le Roman qu
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résentaient. » (Nuit obscure, III.) (Et l’on peut
certes
rapprocher ce passage de l’admirable cri de Ventadour : « Elle m’a pr
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uoi ce serait davantage qu’une morosa delectatio.
Certes
, l’on est fondé à contester la vérité dernière de la croyance mystiqu
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maine plus restreint, à des conclusions désolées.
Certes
, Chénier décrit comme un vrai romantique : L’enthousiasme errant, fi
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strophes, voilà qui peut définir l’âge classique.
Certes
la guerre et la passion demeurent des maux inévitables, et d’ailleurs
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es formes de l’amour et de la guerre, soit rompu.
Certes
, le but concret de la guerre fut toujours de forcer la résistance enn
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er radicalement le jugement porté sur l’adultère.
Certes
, la pure doctrine cathare ne prétendait pas légitimer la faute en soi
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ui s’ignore. (Dans x années, on le fera soigner.)
Certes
, la standardisation des types de femmes admis pour « beaux » se produ
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valeurs élaborées par une éthique de la passion.
Certes
, il serait excessif d’estimer que la plupart de nos contemporains son
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religieux, d’éducation et de fortune. On pourrait
certes
imaginer de nouvelles conditions à remplir par les candidats au maria
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à le « résoudre » au sens rationnel de ce terme.
Certes
, il y a du sophisme dans mon raisonnement : car tout se passe d’ordin
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d’une décadence occidentale. Il est en d’autres,
certes
, dans les domaines les plus divers : le culte du nombre, la poésie de
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t fidèle, et que l’amour ne trompe jamais l’aimé.
Certes
, Kierkegaard ne parvint à « ressaisir » le monde fini que dans la con
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pression poétique de la concupiscence » (p. 200).
Certes
, une opinion assez répandue prête aux troubadours une attitude idéali
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ion du troubadour vis-à-vis de l’amour des êtres.
Certes
: « la pureté de l’amour courtois sépare les amants, au lieu que cell
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ce de l’amour arabe et de l’amour provençal. » Et
certes
, si l’on voit bien que « l’amour insatisfait par essence ne peut s’ex
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par la nuit profonde Jusque en sa demeure ? Et
certes
, rien n’annonce les orages wagnériens dans la pure et dolente mélodie
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ser avec les plus tatillons des « spécialistes »…
Certes
, il n’aura jamais la (fausse) naïveté de constater comme le fait Belp
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o-normand d’aujourd’hui. Mais voici plus sérieux.
Certes
, il n’y a pas seulement les troubadours, mais il y eut d’abord les tr
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eloppés, par exemple au chapitre 12 du livre II).
Certes
, Tristan n’a pas pu désirer sa mère, qui est morte en couches. Mais s
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e, en danger dans la chair même de cette femme. »
Certes
, on ne réfute pas une névrose, mais on a le droit de tenir pour suspe