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re imiter le modèle que ses yeux voient et que sa
chair
perçoit (à la lecture des évangiles par exemple) au lieu d’écouter l’
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iste et ce qui crée, victoire de la Parole sur la
chair
, autorité de la personne sur l’anarchie et sur la loi individuelle. C
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ire sur les traits du visage héroïque. Dans cette
chair
qui doit vieillir, la tension de la mort et de la vie a mis des marqu
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s d’ombre. L’ombre est la preuve humiliante de la
chair
— humiliante pour ceux, du moins qui, plaçant la Raison dans le monde
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a « transparence », mais tolèrent très bien cette
chair
, — oui, même ceux-là qui déplorent qu’elle se fasse, aux regards de l
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z pauvre : l’ombre est le fait, en nous, de notre
chair
. Mais perdre sa chair, c’est mourir, et cet infortuné Schlemihl n’éta
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le fait, en nous, de notre chair. Mais perdre sa
chair
, c’est mourir, et cet infortuné Schlemihl n’était tout de même pas mo
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omment le temps tuerait-il l’Éternel ? Comment la
chair
tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s
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i t’assure que notre raison tout attachée à notre
chair
, à notre temps où elle s’est constituée, soit capable de concevoir ce