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és radicalement distinctes : le Verbe divin et la
chair
. Pour mesurer l’ampleur de cette révolution, il faut imaginer ce qu’é
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la grâce et peut conduire à des révélations. « La
chair
ne sert de rien » (quant au salut) déclare saint Paul. Et l’on eut bi
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bien vite fait de réduire au sexuel le sens de «
chair
» qui, pour l’Apôtre, désignait le tout de l’homme (corps, âme et int
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intaine et la musique, la souple résistance de la
chair
, et le désir qui ne s’arrêtera plus dans sa lancée vers un au-delà de
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tuitif au clair-obscur de l’âme, à l’obscur de la
chair
, à l’opaque de la matière et au noir absolu de l’espace électronique,
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’épanouir dans les trois dimensions (esprit, âme,
chair
) Correspond au Corps et à la sensation. (« Toute chair est comme l’he
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) Correspond au Corps et à la sensation. (« Toute
chair
est comme l’herbe. » Amour de la chair pour ce qui la transcende et l
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. (« Toute chair est comme l’herbe. » Amour de la
chair
pour ce qui la transcende et l’anime, car la poussée vient d’en bas,
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e l’étude et de l’expression des réalités de la «
chair
», dans leurs aspects physio-psychologiques. Mais cela s’est produit
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rent encore que le péché originel est « l’acte de
chair
», ceux qui pensent avec un certain évêque bogomile qu’il n’y a « pas