1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 it. « Car le péché n’est pas le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement de l’esprit à ce dérèglement8 ». Et
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 et meurent ensemble, ils sont une seule et même «  chair  ». C’est une étrange erreur que de nommer « esprit » l’aspect origina
3 l’abstrait. Qu’est-ce alors, parmi nous hommes de chair , que l’esprit ? Cet esprit qui souffle où il veut, et nous mourons où
4 me meurt totalement, parce qu’il est totalement «  chair  » ; et ce ne sont que des morts qui ressusciteront, non pas des endor
5 dans son Credo, parle d’une « résurrection de la chair  », non pas de l’âme ni du corps. h. « Définition de la personne », E
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
6 ne répond plus : il est la vérité, la réponse en chair et en os. Il faudrait se « boucher les yeux… » Cet homme est l’Esprit
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
7 n conflit éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asservissants. L’apparition de la passion d’Amour de
8 r évidemment incompatible avec le mariage dans la chair , devait amener des confusions inextricables. Pour l’amateur non initi
9 reste une faute parce qu’il est consommé dans la chair (et non point parce qu’il lèse le mariage), mais il se trouve revêtir
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
10 on du Rien. Mais dès lors que le Verbe s’est fait chair et qu’il nous a parlé en mots humains, nous avons appris cette nouvel