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it. « Car le péché n’est pas le dérèglement de la
chair
et du sang, mais le consentement de l’esprit à ce dérèglement8 ». Et
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et meurent ensemble, ils sont une seule et même «
chair
». C’est une étrange erreur que de nommer « esprit » l’aspect origina
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l’abstrait. Qu’est-ce alors, parmi nous hommes de
chair
, que l’esprit ? Cet esprit qui souffle où il veut, et nous mourons où
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me meurt totalement, parce qu’il est totalement «
chair
» ; et ce ne sont que des morts qui ressusciteront, non pas des endor
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dans son Credo, parle d’une « résurrection de la
chair
», non pas de l’âme ni du corps. h. « Définition de la personne », E
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ne répond plus : il est la vérité, la réponse en
chair
et en os. Il faudrait se « boucher les yeux… » Cet homme est l’Esprit
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n conflit éternel et angoissé avec la créature de
chair
et ses instincts asservissants. L’apparition de la passion d’Amour de
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r évidemment incompatible avec le mariage dans la
chair
, devait amener des confusions inextricables. Pour l’amateur non initi
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reste une faute parce qu’il est consommé dans la
chair
(et non point parce qu’il lèse le mariage), mais il se trouve revêtir
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on du Rien. Mais dès lors que le Verbe s’est fait
chair
et qu’il nous a parlé en mots humains, nous avons appris cette nouvel