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ser outre au doute naturel, à confesser ce que la
chair
ni le sang par eux-mêmes ne sauraient confesser. Alors seulement pour
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se, qui réduisaient toute vie dans le temps et la
chair
à l’insignifiance anonyme d’un passage éphémère dans l’Illusion. Ains
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Pâques, que l’homme ne lui appartient que par la
chair
(étant au monde mais non du monde) et qu’un terme est promis à l’Hist
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t le transfigurer, — d’où la « résurrection de la
chair
». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-ce que l’homm