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es et désignée du nom de Christ. Mais ce que « la
chair
ni le sang », ni la raison qui entend les dominer, ne pouvaient croir
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, en une Personne. À tout jamais, pour l’homme de
chair
et de raison, ce trait d’union reste impensable, cette identité scand
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reux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la
chair
ni le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans le
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re imiter le modèle que ses yeux voient et que sa
chair
perçoit (à la lecture des évangiles, par exemple) au lieu d’écouter l
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iste et ce qui crée, victoire de la Parole sur la
chair
, autorité de la personne sur l’anarchie individuelle. C’est ici qu’on
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ire sur les traits du visage héroïque. Dans cette
chair
qui peut vieillir, la tension de la mort et de la vie a mis des marqu
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omment le temps tuerait-il l’éternel ? Comment la
chair
tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s
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t’assure que notre raison, tout attachée à notre
chair
, à notre temps où elle s’est constituée, soit capable de concevoir ce
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ser outre au doute naturel, à confesser ce que la
chair
ni le sang par eux-mêmes ne sauraient confesser. Alors seulement pour
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a grâce. L’Évangile nous le dit formellement : la
chair
n’héritera pas le Royaume à venir. a. Ainsi orthographié dans les di
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ndre avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la
chair
, le pur Néant. Ainsi le terme de la quête romantique, à travers les i