1 1944, Les Personnes du drame. Introduction
1 es et désignée du nom de Christ. Mais ce que « la chair ni le sang », ni la raison qui entend les dominer, ne pouvaient croir
2 , en une Personne. À tout jamais, pour l’homme de chair et de raison, ce trait d’union reste impensable, cette identité scand
3 reux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair ni le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans le
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
4 re imiter le modèle que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la lecture des évangiles, par exemple) au lieu d’écouter l
5 iste et ce qui crée, victoire de la Parole sur la chair , autorité de la personne sur l’anarchie individuelle. C’est ici qu’on
6 ire sur les traits du visage héroïque. Dans cette chair qui peut vieillir, la tension de la mort et de la vie a mis des marqu
3 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
7 omment le temps tuerait-il l’éternel ? Comment la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s
8 t’assure que notre raison, tout attachée à notre chair , à notre temps où elle s’est constituée, soit capable de concevoir ce
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
9 ser outre au doute naturel, à confesser ce que la chair ni le sang par eux-mêmes ne sauraient confesser. Alors seulement pour
5 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
10 a grâce. L’Évangile nous le dit formellement : la chair n’héritera pas le Royaume à venir. a. Ainsi orthographié dans les di
6 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
11 ndre avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la chair , le pur Néant. Ainsi le terme de la quête romantique, à travers les i