1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 chaque être, et non sa classification, l’homme de chair et non pas son concept. Le peintre. Pardonnez-moi, je ne comprends l
2 omme s’il ne formait pas avec l’autre « une seule chair  » ? Ou bien allez-vous soutenir que la beauté d’un couple est simplem
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
3 s d’ombre. L’ombre est la preuve humiliante de la chair humiliante pour ceux, du moins, qui, plaçant la Raison dans le monde
4 rt la transparence, mais tolèrent très bien cette chair , oui, même ceux-là qui déplorent qu’elle se fasse, aux regards de la
5 z pauvre : l’ombre est le fait, en nous, de notre chair . Mais perdre sa chair, c’est mourir, n’en déplaise aux spiritualismes
6 le fait, en nous, de notre chair. Mais perdre sa chair , c’est mourir, n’en déplaise aux spiritualismes, et cet « infortuné S
3 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
7 tué son propre fils Pélops, pour faire servir sa chair à la table divine. Les liqueurs d’immortalité sont ici comme des sign
8 tuel, un homme tue lui-même son fils, et donne sa chair aux dieux pour qu’ils en meurent — s’ils perdent leur divinité de s’ê
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
9 et la frange de cet éclat qui doit consumer toute chair . Dans cette lueur suspecte, risque un jour d’apparaître la face réell
10 yse. Un théologien répondit : « L’affection de la chair , c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mieux. Il ente
11 vu bien avant Freud, et mieux. Il entendait par «  chair  » le tout de l’homme, intelligence et belle âme comprises. Et ce n’es
12 me telle. Bien au contraire, ce qu’affectionne la chair , c’est ce qui, croit-elle, la détourne de la mort. C’est la vie telle
13 rdon Toute chose a son lieu, maintenant, toute chair a son temps, tout esprit son essor. Et chacun de nous accède au desti