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l’image d’un jeu dont les différents partenaires
changent
la règle à leur fantaisie, chacun croyant gagner à sa façon, et que l
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uche et à droite, une impuissance profonde à rien
changer
aux faits. Or, ces mystiques reposent sur des mots. Ces mots suffiren
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aucun rôle dans leur action, et qu’elle n’a rien
changé
à leur croyance ou plutôt à leur incroyance. Tout de même, on se dit
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ur gagner de quoi vivre, tentation perpétuelle de
changer
de condition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le cœur à leur
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. Mais, en 1935, le ton des « dirigeants » a bien
changé
. Voici ce qu’écrit, à cette date, le Père des peuples, sur le même Ma
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une autre, ce n’est pas seulement le paysage qui
change
. N’était-ce pas là l’une des raisons qui faisait, si facilement nier
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uxueux fauteuil de cuir rouge ou bleu vif, et qui
change
de tête plusieurs fois pendant le trajet, de coups de main aux voyage
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oire plus qu’à la tactique d’un dictateur, lequel
changera
la vérité tous les six mois. Mais alors de quoi donc parle-t-on lorsq
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te, une grande volonté invariable : la volonté de
changer
le monde. Or une telle volonté ne saurait prendre son élan que dans l
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pas, d’une façon ou d’une autre, à transformer, à
changer
quelque chose, — à lutter efficacement contre le mal universel. Cette
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e milieu du xixe siècle, et par la volonté de la
changer
. En particulier, elle n’est « matérialiste », au sens vulgaire, que d
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ue. Faisons de nécessité vertu. Proposons-nous de
changer
les choses et leurs rapports, de changer « le monde », c’est-à-dire l
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-nous de changer les choses et leurs rapports, de
changer
« le monde », c’est-à-dire les rapports économiques et sociaux. Et s’
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sociaux. Et s’il nous reste encore du temps, nous
changerons
l’homme. D’ailleurs, peut-être suffit-il de changer le cadre matériel
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erons l’homme. D’ailleurs, peut-être suffit-il de
changer
le cadre matériel pour que le contenu se transforme ? N’a-t-on pas dé
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de celui des idéalistes : la croyance que si l’on
change
l’ordre des choses, on change automatiquement la réalité humaine. Obl
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royance que si l’on change l’ordre des choses, on
change
automatiquement la réalité humaine. Obligé par ses adversaires à proc
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mme nouveau, selon l’Évangile, est un homme qui a
changé
de sens. Il est orienté autrement, comme l’indique le mot conversion.
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responsables. Il croit que c’est elles qu’il faut
changer
. Il bat la table, comme Xerxès faisait battre l’Hellespont. C’est ce
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rx n’avait-il pas dit qu’il fallait commencer par
changer
l’ordre matériel, l’ordre des choses, et que les hommes ensuite devie
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plus habiles à s’entendre et à vivre heureux ? «
Changer
la vie », criait l’enfant Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche re
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nte et de son amour éternel. Il annonçait l’homme
changé
. Trop beau tout cela ! Trop beau pour être vrai, dit le marxiste. (Ch
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beau pour être vrai, dit le marxiste. (Chrétien,
changé
, je suis encore assez « vieil homme » pour le comprendre.) Sur quoi r
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ui supprime la misère, qui empêche la guerre, qui
change
le monde ! Il faut le dire à notre honte, à nous chrétiens : ces repr
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t sa volonté proclamée, concrète et immédiate, de
changer
tout ; et non pas seulement l’« esprit » ou l’« intérieur ». Or si le
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mpunément, et si on l’a, cela se voit, des choses
changent
. Ce que tu me reproches, c’est, en fait, de n’être pas assez chrétien
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el du marxisme, je le répète, c’est sa volonté de
changer
le monde, le monde d’abord, et non pas l’homme d’abord, et le monde p
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invisible, mais sur des faits concrets qu’il faut
changer
. Chaque réforme obtenue, chaque revendication réalisée, me montre dès
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faudrait que l’homme soit délivré de son péché, «
changé
», sorti du plan, précisément, où le marxisme le maintient. Moyens
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Christ, cela suppose identiquement une volonté de
changer
tout ce qui peut l’être ; mais aussi, cela suppose certains moyens d’
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ins très chers. Mais je demande à ces chrétiens «
changés
» s’ils ont un souci suffisant des suites sociales et politiques qu’i
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t pas tout faire ! Quand beaucoup d’hommes seront
changés
, beaucoup de problèmes se poseront autrement… » Je veux les croire. I
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térialisme. Mais le communisme, au moins, voulait
changer
le monde… Contre les arguments démagogiques de nos croisés, je répète
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on, au retour de sa déportation en Sibérie. q. «
Changer
la vie ou changer l’homme ? », Le Communisme et les chrétiens, Paris,
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a déportation en Sibérie. q. « Changer la vie ou
changer
l’homme ? », Le Communisme et les chrétiens, Paris, Plon, 1937, p. 20
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ui n’ont pas cet avantage que l’on soit obligé de
changer
, lorsque l’expérience fait connaître le besoin d’en corriger les défa
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lle, une actualité permanente, la seule chose qui
change
quelque chose au déroulement calculable du temps, quand elle le touch
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e sa volonté — qui a tout prévu — peut aussi tout
changer
en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit changé de ce qu
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n instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit
changé
de ce qu’a décidé Dieu, de ce qu’il décide ou de ce qu’il décidera ?
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es et tous les siècles dont se réclame Érasme n’y
changeront
rien : « Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, puisqu