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que l’on a derrière soi et qui ne peut plus être
changé
: le sang, la race, la tradition, les morts, tout ce qui impose un de
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t qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
changer
de rythme et rectifier la tenue, bander tous les ressorts, mobiliser
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avril 1939)d On ne fait pas de révolution sans
changer
le vocabulaire. Car la force principale d’un mouvement politique n’es
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eci : reprendre le vocabulaire démocratique, mais
changer
le signe de chacun de ses termes. Exemples : le droit des peuples à d
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us fort, donc injustice. Ici encore, il suffit de
changer
le signe. Quant à l’espace vital des dictatures, on n’aura pas été sa
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d nous mentons, nous savons bien que la vérité ne
change
pas pour si peu. Elle subsiste intacte et nous juge. Eux croient, s’i
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subsiste intacte et nous juge. Eux croient, s’ils
changent
d’avis par « intérêt vital », que tout a changé dans le monde. Les cr
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changent d’avis par « intérêt vital », que tout a
changé
dans le monde. Les critères mêmes du vrai sont modifiés. Menteur, cel
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il de faucon et du dernier des Mohicans. Rien n’a
changé
dans le paysage depuis Cooper, lequel notait dans sa préface que tout
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s conditions fondamentales de la guerre n’ont pas
changé
davantage qu’elles ne le firent lors de l’invention de la poudre. Mai
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inaire pour se rendre contemporain d’un monde qui
change
beaucoup plus vite que Jules Verne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’
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t de départ, après un petit tour de planète. Nous
changeons
de continent comme on part en week-end. Le mot partir a donc changé d
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t comme on part en week-end. Le mot partir a donc
changé
de sens. Il a perdu son aura dramatique. Plus question de couper les
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en 1938… Aujourd’hui, les données du problème ont
changé
. Trouvera-t-on de nouveau désagréable que j’attire l’attention, cette