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Washington… Quand on revient à New York tout est
changé
. Il n’y a plus qu’à recommencer. Et trop de faits collectionnés alour
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. Cette nuance me paraît capitale : elle suffit à
changer
l’atmosphère. L’avouerai-je ? Aux premiers contacts, dans la rue ou à
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uver : à peine y serait-il parvenu que le tableau
changerait
en quelques jours. D’où la gabegie littéralement indescriptible dont
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s en experts du travail ou du commerce. Tout cela
change
l’air des bureaux, et l’esprit d’une bureaucratie, pour ceux qui en s
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nde », au lieu de rivaliser dans la dépense. Tout
changera
, comme par enchantement ! Vous verrez les idées affluer. Quant au pub
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age ne soit séparé du divorce que par le temps de
changer
de salle, et c’est le même juge — passant par l’autre porte — qui lég
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e, qu’elle évacue par ce traitement expéditif.
Changer
sauvent de métier, d’épouse, d’appartement. — Bien vu en Amérique. Ma
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e par des réfugiés religieux. Mais les Américains
changent
facilement d’église, selon leur domicile ou leur cercle d’amis, tandi
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andis que le Français donne l’impression qu’il ne
changerait
pas plus de parti que de passé. 7.Comment ils prennent la vie L
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ons : de grande ville américaine. Les mesures ont
changé
autour d’eux. Les cadres sociaux n’y sont plus, pour les maintenir da
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ef de gouvernement. Ce dernier, pris au dépourvu,
change
subitement de direction — crise ministérielle, c’est-à-dire vidange d
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lusieurs mois. Les Anglais ont ce proverbe : « Ne
changez
pas de chevaux au milieu du fleuve. » Les Français prétendent empêche
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ent. Personne n’en parle. On n’a pas eu besoin de
changer
de régime pour le réaliser. Les autostrades américaines ne sont pas u