1 , grâce aux conquêtes de la Révolution. Alors, on change de motifs d’union. Henri de Saint-Simon publie en 1815 un plan qu’il

2 homme, sans relâche, se remet en question et veut changer le monde, de telle manière que sa vie personnelle y prenne un sens.

3 formera des traditions civiques et le besoin d’en changer . Il s’agit donc d’éveiller chez les jeunes le désir d’habiter demain

4 sociétés modernes, pluralistes et profanes, tout change . La transmission des connaissances n’est plus initiation mais instruc

5 pas de frontières, mais l’instruction publique a changé cela. (Et l’Université, en dépit de son nom, a pareillement abdiqué d

6 tion, autre chose d’affirmer qu’on ne veut rien y changer , que c’est là-dessus qu’il faut bâtir, et qu’on doit appeler cela réa

7 hoisir les dépendances les plus profitables. Mais changer les données mêmes du problème de l’union pour le rendre soluble, c’es

8 s dans l’optique du Marché commun de demain, tout change  : effacée la frontière qui depuis cent-cinquante ans coupait la régio

9 space territorial, à savoir la France ; quiconque change dans sa pensée le terme territorial de l’équation, et met à la place

10 l’un contre l’autre ? Si ces gangsters n’ont pas changé , pourquoi les élargir ? Et si les conquêtes anglaises ne sont pas en

11 e ou d’un parti nouveau ; mais qu’elle consiste à changer de structures et de hiérarchies des valeurs, à changer de fins derniè

12 er de structures et de hiérarchies des valeurs, à changer de fins dernières, à changer de centre : Copernic, et surtout Galilée

13 chies des valeurs, à changer de fins dernières, à changer de centre : Copernic, et surtout Galilée, ont posé le modèle d’une vr