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sans doute de pareilles alternances. Le ton ou la
chanson
, l’écriture ou le sens, le rythme ou la direction de la marche seront
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leurs dessous roses, les filles qui chantent une
chanson
populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
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s Noms, ça ne sera pas encore pour cette fois.
Chansons
hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
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ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la
chanson
hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
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ouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette,
chansons
de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
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es feuillages de voix fausses mais aériennes, des
chansons
du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
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r villageois, ciel de province, jeux d’enfants et
chansons
, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas comme eux, tra
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ois. Ce « peuple »-là n’a plus d’instinct. Et les
chansons
dites populaires ne sont même plus en musique c’est du « parlé » coup
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s une auberge forestière. Des tyroliennes, et des
chansons
de la vieille France, dont ils étaient les seuls à savoir toutes les
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outon de la radio et suis tombé sur un récital de
chansons
militaires du xviiie siècle. Je note vite ces paroles charmantes :
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je sentais présent — un an déjà ! comme dans les
chansons
— même si la guerre était gagnée, même si demain nous devions vivre e
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s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une
chanson
glorifiant la victoire des Allemands. 76. Amen. Versiglet mit dem S
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ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre