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fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui «
chantent
». L’après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que n
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récitatifs, — et que je m’étais bien gardé de lui
chanter
! On sait la suite : tout était prêt, quand septembre 1939 vint détru
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artir de ce jour, le sort même de la paix qu’elle
chantait
. Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un témoignage assez
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uleuse ! Jusqu’au jour incertain où nous pourrons
chanter
ce final entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en
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ris de joie ! Oui, tous en chœur, levez-vous et
chantez
! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, tous, encor, jubil
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be sur le Festspiel en Suisse, dans La Suisse qui
chante
, 1932). Cette formule me paraît plus collectiviste que communautaire.
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est seul à pouvoir l’exercer dignement. Or, nous
chantons
nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux deux, et
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ignement. Or, nous chantons nos lacs d’azur, nous
chantons
nos glaciers qui touchent aux deux, et nous en retirons d’importants
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s… Ne seraient-ils pas aussi capables que nous de
chanter
et de gagner de l’argent, si nous étions contraints de leur céder la
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lieto, sia ! Di doman non c’è certezza. Ainsi
chantait
Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à