1 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
1 fait dans le ciel, là où doivent vivre ceux qui «  chantent  ». L’après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que n
2 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
2 récitatifs, — et que je m’étais bien gardé de lui chanter  ! On sait la suite : tout était prêt, quand septembre 1939 vint détru
3 artir de ce jour, le sort même de la paix qu’elle chantait . Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un témoignage assez
4 uleuse ! Jusqu’au jour incertain où nous pourrons chanter ce final entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en
5 ris de joie ! Oui, tous en chœur, levez-vous et chantez  ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, tous, encor, jubil
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
6 be sur le Festspiel en Suisse, dans La Suisse qui chante , 1932). Cette formule me paraît plus collectiviste que communautaire.
4 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
7 est seul à pouvoir l’exercer dignement. Or, nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux deux, et
8 ignement. Or, nous chantons nos lacs d’azur, nous chantons nos glaciers qui touchent aux deux, et nous en retirons d’importants
9 s… Ne seraient-ils pas aussi capables que nous de chanter et de gagner de l’argent, si nous étions contraints de leur céder la
5 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
10 lieto, sia ! Di doman non c’è certezza. Ainsi chantait Laurent le Magnifique. Manuel et ses contemporains savent et disent à