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ngué, mais c’est pour qu’il la serve. Écoutons-la
chanter
par la voix déchaînée de sa prêtresse et magicienne Isolde : « Élu pa
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phe de la mort des amants. « Viens, douce mort »,
chante
l’âme apaisée au plus pur des chorals de Bach. La « Joie suprême » d’
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comme en vue de lendemains qui auront le temps de
chanter
— les occasions de mieux comprendre nos vies comme aussi de mieux com
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i s’abolit dans cette Nuit de l’indistinction que
chante
le deuxième acte de Tristan : La nuit brillante enferme en ses bras
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e voudra Tristan, l’autre Don Juan. Don Juan nous
chante
qu’il n’est heureux que dans l’instant, la nouveauté et le changement
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derniers vers du livret de Tristan, tel qu’il est
chanté
: Nietzsche, dans l’Origine de la tragédie, citait le texte du poème,