1 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
1 ngué, mais c’est pour qu’il la serve. Écoutons-la chanter par la voix déchaînée de sa prêtresse et magicienne Isolde : « Élu pa
2 phe de la mort des amants. « Viens, douce mort », chante l’âme apaisée au plus pur des chorals de Bach. La « Joie suprême » d’
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
3 comme en vue de lendemains qui auront le temps de chanter — les occasions de mieux comprendre nos vies comme aussi de mieux com
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
4 i s’abolit dans cette Nuit de l’indistinction que chante le deuxième acte de Tristan : La nuit brillante enferme en ses bras
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
5 e voudra Tristan, l’autre Don Juan. Don Juan nous chante qu’il n’est heureux que dans l’instant, la nouveauté et le changement
6 derniers vers du livret de Tristan, tel qu’il est chanté  : Nietzsche, dans l’Origine de la tragédie, citait le texte du poème,