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ur parler du Vinet de M. Seillière, de ce nouveau
chapitre
qu’il vient d’ajouter à sa grande étude sur les rapports du christian
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avoir hésité entre plusieurs styles de roman. Un
chapitre
d’observation psychologique ironique et minutieuse, à la Stendhal, su
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droits de la passion, — et dans sa trame quelques
chapitres
inspirés presque littéralement d’une anecdote italienne de Stendhal ;
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de platitudes et de vulgarités pour les derniers
chapitres
, denses, violents, et dont le profond ricanement se prolonge en nous.
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la production actuelle. On retrouve aux premiers
chapitres
de Catherine-Paris cette magie des sensations et des rêves de l’enfan
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est pourquoi j’ai lu ce livre, malgré son premier
chapitre
, variation sur un mot bien français et ses applications faciles à cen
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nt, — ses injures de Caliban littérateur. Dans un
chapitre
excellent et peut-être plus audacieux que les autres, M. Pierre-Quint
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ge « à la suite », renonçant à écrire d’abord les
chapitres
qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie : car cela m’incitera