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ourdissante du monde : je vois une lumière vraie,
chaude
et triomphante, et des vaisseaux qui ramènent Iseut dans le silence d
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tale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir
chaud
sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets,
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t, les moires et l’ondulation des rubans de vents
chauds
sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enroulements
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it la mélodie.) La fanfare s’éloigne. La nuit est
chaude
sur les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pip
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airie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un
chaud
soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée
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au miel avec du rhum ! Buvez-le pendant qu’il est
chaud
! » Il faut que j’y passe. C’est trop chaud et c’est écœurant. Et ça
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l est chaud ! » Il faut que j’y passe. C’est trop
chaud
et c’est écœurant. Et ça recommence chaque matin. (Guérir aussi vite
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u près guéri d’une angine prise en plein été très
chaud
, je vais voir Jean Paulhan qui m’assure que rien ne pouvait m’arriver
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s, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent
chaud
de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’
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enfin vers le silence, à minuit, dans la ténèbre
chaude
. Un vrai départ, déjà dépaysé. Rien à regarder du pont, sinon dans le
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Tout à l’avant du pont, le vent merveilleusement
chaud
fait claquer les pans du peignoir sur mes jambes nues, m’embrasse tou
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t festonnées de tuiles provençales. La brique est
chaude
encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis
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de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop
chaud
. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de
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é, s’annonce dans les journaux « cinq pièces, eau
chaude
et bain ». Il existe dans Manhattan des centaines de milliers de logi