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ourdissante du monde : je vois une lumière vraie,
chaude
et triomphante, et des vaisseaux qui ramènent Iseut dans le silence d
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tale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir
chaud
sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de reflets,
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t, les moires et l’ondulation des rubans de vents
chauds
sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enroulements
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it la mélodie.) La fanfare s’éloigne. La nuit est
chaude
sur les collines. Un grand verre de bière à l’auberge déserte, ma pip
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airie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un
chaud
soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée
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t festonnées de tuiles provençales. La brique est
chaude
encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis
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de la glace, ôte enfin le peignoir, il fait trop
chaud
. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de
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prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pieds. Par une
chaude
soirée du mois d’août 192., un jeune homme, simplement vêtu d’un pant
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nnaissance intime de la neige ; le désir des pays
chauds
; et un petit lièvre. Je me souviens de ce retour du Creux-du-Van, à