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l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un
chef d’État
. Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc
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ste » est l’homme sans lendemain. 5 avril 1939 Ce
chef d’État
offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu
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l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un
chef d’État
. Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc
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l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un
chef d’État
. Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc
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est l’homme sans lendemain. 5 avril 1939 Ce
chef d’État
offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu
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faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à un
chef d’État
étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave
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ttre en vigueur au jour J. 5 avril 1939 Ce
chef d’État
offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu
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faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à un
chef d’État
étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave
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ces chambres réunies, combine les attributs d’un
chef d’État
à sept têtes et d’un cabinet de ministres ; on ne peut choisir plus d
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ux qu’elle, ce n’est pas en apprenti mais bien en
chef d’État
qu’il s’en va discourir devant les grands seigneurs du capitalisme ya
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le faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à
chef d’État
étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave
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un officier neutre n’a pas le droit d’outrager un
chef d’État
étranger ! De Suisse, Denis de Rougemont est envoyé en Amérique où il
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droit absolu qui reste alors entre les mains d’un
chef d’État
, c’est celui de refuser l’abandon d’une fiction : la souveraineté abs
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les manifestations officielles. Il n’agit plus en
chef d’État
, mais en chargé d’affaires presque anonyme, négociant avec les divers
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gouvernement ou selon les allergies de tel ou tel
chef d’État
. Contre ces passions-là, nul argument ne vaut et je perdrais mon temp
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le 9 septembre 1965 par le général de Gaulle. Ce
chef d’État
, auquel on ne saurait reprocher de manquer du sens de ses responsabil
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selon les craintes traditionnelles de tel ou tel
chef d’État
. Contre ces passions-là, nul argument ne vaut et je perdrais mon tem
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réalités, mais selon la volonté de puissance d’un
chef d’État
, d’un parti au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairem
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qu’on adule aujourd’hui dans tous les ordres, du
chef d’État
au cycliste imbattable en passant par le grand physicien et le monstr
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exigeant les bijoux de la couronne, la tête d’un
chef d’État
ou autrement c’est Manhattan, Moscou, Paris rasés dans l’heure… Quelq
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réalités, mais selon la volonté de puissance d’un
chef d’État
, d’un parti au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairem
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des années 1900 à 1914 — pendant lesquelles notre
chef d’État
faisait ses classes — définissaient précisément l’Europe comme allant
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exigeant les bijoux de la couronne, la tête d’un
chef d’État
ou autrement c’est Manhattan, Moscou, Paris rasés dans l’heure… Quelq
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l’Europe repose entièrement entre les mains d’un
chef d’État
qui, pour favorable qu’il puisse être aux vues occidentales, n’est pa
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le salut de l’Europe repose entre les mains d’un
chef d’État
américain », nous voilà condamnés à inventer un avenir différent, dan
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l’entrée d’Hitler à Paris, qualifié d’« insulte à
chef d’État
étranger ». Après quoi l’on va m’expédier en mission de conférences a
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ccusé par la Légation du IIIe Reich « d’insulte à
chef d’État
», et j’allais être condamné à quinze jours de forteresse, au secret,
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jours de forteresse, au secret, pour « insulte à
chef d’État
étranger mettant ainsi en danger la sécurité de la Suisse ». Cet arti
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à Paris, et qui a été considéré comme « insulte à
chef d’État
étranger », donc mettant en danger la sécurité de la Suisse. Cette ac
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au, sans visites ni courrier », pour « insultes à
chef d’État
étranger risquant de mettre en danger la sécurité de la Suisse », com
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is en danger la sécurité du pays pour « insulte à
chef d’État
étranger », fut condamné à 15 jours de forteresse. La peine lui fut é
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au, sans visites ni courrier », pour « insultes à
chef d’État
étranger risquant de mettre en danger la sécurité de la Suisse », com
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donc dans une situation très particulière, moins
chef d’État
qu’arbitre. Il était un symbole vivant. Il garantissait dans sa perso