1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 onversion soudaine, radicale, changeant tout — le Chemin de Damas — est un phénomène caractéristique du christianisme. De même
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 entiel de toute vocation : il s’agit de suivre un chemin qui demeure invisible tant qu’on ne se risque pas à y marcher. Cette
3 t cette phrase lourde de sens : « Ce n’est pas le chemin qui est difficile, mais c’est le difficile qui est le chemin. » On vo
4 est difficile, mais c’est le difficile qui est le chemin . » On voit ici que la notion de vocation, chez Kierkegaard, s’oppose
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
5 e l’intérieur : la conversion, l’éblouissement du chemin de Damas, où Saul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et conve
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
6 nt vertus. « Marchez toujours en ricanant dans le chemin de la vérité », écrivait-il à Mme du Deffand. Avec ou sans le curé, c
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
7 roisième Roi sur l’échiquier du monde occidental. Chemin faisant, j’ai signalé que cette neutralité européenne — comme toute n
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
8 des expériences vécues et à faire voir par quels chemins variés, imprévus et parfois scabreux, des hommes de formation et de n
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
9 l faut revendiquer, désormais, laissant tomber en chemin tout recours paresseux à l’argument démocratique, c’est que les « inf
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
10 des souvenirs et des horizons, du désir et de ses chemins . Survolant en quelques minutes tant de destinées minutieuses qui s’en
9 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
11 urs refusé l’idée fondamentale du sacrifice, seul chemin qui permet de passer de l’intériorité fervente à la grandeur. Relison
12 nouveau la phrase de ses Proverbes du yogi : « Le chemin de l’intériorité à la grandeur passe par le sacrifice », phrase dont
13 Ma vision, ma pensée, sont liées à la marche, au chemin . Inséparables !… » (A. Cl. Kensik : « Entretiens avec Rudolf Kassner 
10 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
14 Gribskov, il est un lieu nommé « le Coin des Huit Chemins  ». Seul le trouve celui qui le cherche avec beaucoup de soins et de f
15 contradiction, car comment le croisement de huit chemins publics peut-il former un « coin » solitaire et dérobé ? Si la rencon
16 e le nom d’« Enclos fatal »… L’animation des huit chemins n’est qu’une pure possibilité, — possibilité pour l’esprit. Car perso
17 ntiment d’une joie suprême, à laquelle aboutit ce chemin de ruine et de déception, de sorte qu’il croit entendre la voix la pl
18 musical » (troisième stade). 97. Étapes sur le chemin de la vie, « In Vino Veritas », discours de Johannes le Séducteur. Ca
19 ente du regard spéculatif ». 102. Étapes sur le chemin de la vie, « Propos sur le mariage ». 103. Les Œuvres de l’amour, 1
11 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
20 u mythe. 126. « Celui qui ne sait pas trouver le chemin qui conduit à son idéal, vit de façon plus frivole, plus insolente, q
12 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
21 extrême rigueur il n’a jamais cessé d’inventer un chemin qui ne pouvait exister que pour lui seul. De personne je ne suis à ce