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n’existait pas ailleurs que dans mes bras, et nul
chemin
, nulle distance mesurable, ne conduisaient de Tendre-sur-noblesse à S
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et officiel, il a bien fallu que je recherche le
chemin
du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babo
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de où si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un
chemin
effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au ma
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our l’un des onze villages du burgraviat. Par des
chemins
à peine tracés au ras de la plaine sablonneuse — et parfois hors des
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de la luxure ? Quand je vais à pied, j’oublie en
chemin
les meilleures phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies
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e, qui vient trébucher dans les méandres de notre
chemin
: « Il faut se perdre pour se retrouver », nous enseigne une doctrine