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ais le Fils de Dieu est venu pour nous montrer le
chemin
du retour à la Lumière. Ce Christ ne s’est pas incarné : il n’a pris
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ce fou désir M’occira, que je reste ou aille par
chemins
Puisque celle qui me peut guérir ne me plaint. … et ce désir Prévaut
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forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le
chemin
de gauche et celui de droite. Il s’engage dans celui de gauche, malgr
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ler à Dieu sans passer par le Christ qui est « le
chemin
», celui-là va au diable, disait énergiquement Luther.) Ils pressente
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ut n’est plus la Lumière, et quand on ignore le «
chemin
», c’est se précipiter dans la Nuit. Le dépassement, dès lors, n’est
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du principe de « notre foi » : Elle passe par le
chemin
, si pleine de grâce et de noblesse qu’elle abaisse l’orgueil de celui
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e donc la geôle où je suis enfermé Qui me clôt le
chemin
vers une telle vie ! (Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le
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en marge du siècle, nous allons parcourir le même
chemin
en sens inverse : par Werther, cette réplique d’Héloïse mais qui fini
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n du Moyen Âge en nous faisant pénétrer par mille
chemins
dans la vie quotidienne des bourgeois et des nobles de l’époque. Les
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age qu’au-delà des deux premières critiques et en
chemin
vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse présente l’e
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es habitations humaines. Il hante les déserts. Le
chemin
qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction Bossert.)