1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 se trompe en croyant qu’un voyageur à longueur de chemin perd sa patrie : c’est souvent elle qu’il découvre le mieux quand il
2 1948, Suite neuchâteloise. V
2 e trompe en croyant qu’un voyageur, à longueur de chemin , perd ses ancêtres : c’est eux parfois qu’il s’en va visiter, quand i
3 1948, Suite neuchâteloise. VI
3 cherchais à mieux situer les miens, m’ont proposé chemin faisant quelques énigmes, et permis d’entrevoir quelques réponses. Vo
4 1948, Suite neuchâteloise. VII
4 dail au col roulé, pédale à longues pesées sur le chemin de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’orage est imminent.
5 1948, Suite neuchâteloise. VIII
5  : c’est encore un petit lièvre ! et poursuis mon chemin plus léger. Si je l’avais attrapé, m’en souviendrais-je encore ? Je n