1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 accroupis sur leur seuil, au bord des rues et des chemins , ou seuls debout devant l’idole4. Et une misère universelle. En Europ
2 tal, c’est l’excarnation trop facile. (On perd en chemin le monde créé, sa raison d’être, la connaissance et la maîtrise de se
3 par exemple) qui ne permettent pas de refaire le chemin à volonté par l’intellect et par l’action physique, ni par suite de l
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
4 ours d’un astre, tracé par d’autres astres, ni un chemin qu’il faudra suivre, mais bien un chemin qu’il faut vivre et devenir
5 s, ni un chemin qu’il faudra suivre, mais bien un chemin qu’il faut vivre et devenir soi-même, puisqu’il est une personne : « 
6 i-même, puisqu’il est une personne : « Je suis le chemin , la vérité et la vie. » Au terme de la voie sera la Grâce, donnée pa
7 ocation et le pardon, comment trouver et vivre le chemin  ? Pour l’Orient, la voie est connaissance, illumination progressive (
8 selon le zen). Pour le chrétien, l’expérience du chemin se confond avec celle de la Foi, qui n’est pas seulement la croyance,
9 il allait18. » L’homme de la foi sera l’homme en chemin , le viator, l’éternel « voyageur sur la Terre », qui n’a pas ici-bas
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
10 e l’intérieur : la conversion, l’éblouissement du chemin de Damas où Saul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et conver
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
11 Asie dont Lénine aurait dit : c’est le plus court chemin vers l’Europe. Le moralisme abstrait mais péremptoire qui anime ce ge
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
12 n que peut imaginer l’homme devant Dieu. Tous les chemins mènent à Dieu, dit en somme la Bhagavad-Gita96. Tous les chemins doiv
13 à Dieu, dit en somme la Bhagavad-Gita96. Tous les chemins doivent mener à Rome d’abord, dit l’Église catholique. Et les réforma