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our l’un des onze villages du burgraviat. Par des
chemins
à peine tracés au ras de la plaine sablonneuse — et parfois hors des
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du programme, il a bien fallu que je recherche le
chemin
du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babo
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de où si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un
chemin
effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au ma
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quitte à tout propos la route nationale pour des
chemins
secondaires ou des ruelles à peine plus larges que la voiture. Mais a
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d’énormes plaines, sans barrières ni haies, sans
chemins
creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul ni prudence,
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ent. Et cette richesse à son tour va reprendre le
chemin
de l’Orient, d’où vint autrefois le mûrier. Question : que reste-t-il
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moignant, en annonçant aux hommes la vérité et le
chemin
. Point n’est besoin d’actions extraordinaires, surhumaines : se rire
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z-vous de l’Allemagne ? me demandaient-ils sur le
chemin
du retour, tandis que le jour baissait dans la forêt. — Quelle impres
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champs et forêts où nous marchons sans suivre les
chemins
. (À ce petit signe nous sentons la différence d’avec la vie civile, d
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ers. Nous nous étions arrêtés là, hésitant sur le
chemin
à prendre. Et soudain nous vîmes à nos pieds, tracé à la craie sur le
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ses outils sont là, contre le mur. Il reprend le
chemin
de son champ. En passant au carrefour il s’est dit : « Peut-être est-
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ans les bois. C’était la brousse. Peu ou point de
chemins
marqués, nulle trace de l’homme dès qu’on s’éloigne des grandes piste
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as manqué le train, ni rien perdu, pas même votre
chemin
. Et cela vaut aussi pour les pays de l’âme. Toute connaissance naît d
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t de la ruse et des métiers de plus d’une race… «
Chemins
du monde, l’un vous suit. » Chemins d’exil. 5 mai 1942 Un job.
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d’une race… « Chemins du monde, l’un vous suit. »
Chemins
d’exil. 5 mai 1942 Un job. — J’étais allé voir mes enfants à L