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n’aurions qu’à subir. C’est l’art d’aménager des
chemins
vers nos fins, et non pas de soumettre nos fins à ce qui fut « possib
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truire une bonne machine routière. » Tel fut le «
Chemin
de Damas » du petit paysan, et c’est le titre qu’il donne au chapitre
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e vendue. » En 1899, vingt-quatre ans après son «
chemin
de Damas », Ford abandonne un emploi bien rétribué de chef mécanicien
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escent fasciné par l’idée de partir au hasard des
chemins
de campagne, « n’importe où il vous plaît d’aller », au volant d’une
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But désiré, pour le rejoindre en réalité par des
chemins
que la passion sait inventer. (Et non par des calculs dont les donnée
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rogrammes biologiques, l’invention perpétuelle du
chemin
vers le But et l’improvisation vigilante qu’exige toute marche à l’ét
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s précédent : lui-même. Il doit donc inventer son
chemin
vers ce But qui est aussi celui de tous les autres. « Chacun pour soi
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es gens n’y étaient pas plus heureux que cela. Le
chemin
d’un tel retour n’existe pas. Et le village lui-même a disparu. On tr
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i ne prévoit ni A ni B, mais incite à trouver des
chemins
vers C, je la trouve déjà formulée par Héraclite au siècle d’or de De