1
steppe brûlante, des ondulations longues… Mais un
cheval
se cabre ; et c’est la danse qui se lève, et des tambours et des cris
2
vec sa large face mangée par une barbe en crin de
cheval
du diable. L’héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu
3
x, de son côté. Le reste de la matinée se passe à
cheval
au bord de la mer. Jeux du rivage : sur les montures à poil on s’élan
4
aff »19 coloré de traînées d’algues pourpres. Les
chevaux
ruisselants s’échappent de nos bras, et nous les poursuivons, le long
5
terres. Chaque jour nous partons en break à deux
chevaux
, pour l’un des onze villages du burgraviat. Par des chemins à peine t
6
t par équipes très nombreuses, à grand renfort de
chevaux
de trait, car la nature marécageuse du sol rend les transports malais
7
nts. Sur la plaine éblouissante, des troupeaux de
chevaux
pâturent en liberté. Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le
8
r rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à
cheval
dès 6 ans ; plus tard on leur confie des poulains à dresser — et ce n