1 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
1 s, le grisant glissement de la foule de l’Arc aux Chevaux de Marly, les siècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le vis
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
2 ion, disent les journaux, et trois-cents agents à cheval ont suffi pour « maintenir l’ordre ». J’appelle cela démocratie. Les
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
3 de villas au soleil, par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’herbe d’un marais. Buenos Aires, début de septembre
4 les enfants se hissaient légèrement sur de petits chevaux à poil — deux ou trois enfants par cheval, chacun serrant les bras de
5 petits chevaux à poil — deux ou trois enfants par cheval , chacun serrant les bras de l’autre — et partaient au galop dans tout
6 uire à 300 km seulement de la ville. J’aurai deux chevaux , deux autos, une cuisinière française envoyée tout exprès, et l’ample
7 rté à l’Éternel.) ⁂ Sur un horizon d’incendie, ce cheval au galop monté par un gaucho tout noir, c’est l’Argentine des cartes
8 vient de passer le portail comme sans le voir, le cheval au pas ayant poussé le battant d’une patte. Il a levé la main au somb
9 t les femmes du monde de Buenos Aires à galoper à cheval sur des balais, en grande toilette, dans la cour de sa résidence. Lui
4 1946, Journal des deux mondes. Virginie
10 gèrement vallonnés où galopaient des troupeaux de chevaux , et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantil
11 irginie. — Grands plateaux onduleux et livrés aux chevaux , jusqu’à l’horizon bleu des Appalaches. Pendant que nous roulons sur
12 ce. Elle la déteste. Elle n’aime vraiment que ses chevaux … » L’auto s’arrête devant un haut portique. Deux colonnes blanches en
13 ibule sombre. La maîtresse de maison est sortie à cheval . Promenons-nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corri
14 ette sur la crête d’une colline, nous voyons deux chevaux au galop. Ils disparaissent dans un vallonnement, et maintenant remon
15 êtent devant la barre du portail. Elle pousse son cheval , le portail cède et lui livre passage. C’est une grande femme bottée,
16 e la main. Le jeune homme mince, immobile sur son cheval , nous considère avec hostilité. Il a les yeux d’un bleu très pâle et
17 ouve à la maison ! », crie-t-elle. Et piquant son cheval , penchée sur l’encolure, elle disparaît dans le tunnel de la charmill