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s la piscine que nous devons rencontrer le poète.
Cheveux
noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante,
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ux portières et laisser l’air furieux emmêler les
cheveux
, glacer le masque et appuyer au front comme une caresse indéfinie de
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affalés, tandis que les danseuses secouent leurs
cheveux
et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénit
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L’aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest,
cheveux
en désordre, pantalon plissé, et cet abruti de contrôleur qui rit et