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et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de
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et les miliciens hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous répo
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Or, c’est l’épitaphe idéale pour le brigadier de
choc
. Staline a fait du travail une vertu absolue, qui a sa fin en elle-mê
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ira que j’exagère, que le travail du brigadier de
choc
est d’abord un service rendu à la collectivité. Mais cela ne fait qu’
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e au service du plan quinquennal, le brigadier de
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travaille pour des avantages humains, pour assurer un bien-être génér
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tue le sûr appui grâce auquel on peut résister au
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moral de la surprise. Dans la panique générale, dans le désordre inév
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situation en une formule, je dirai que ce fut le
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des « défenseurs de l’ordre » (les Anciens Combattants) et des gardie
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vidualistes.) La troupe d’assaut et la brigade de
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sont instruments de dictature. L’ordre nouveau sera l’œuvre d’un « or
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omme se l’imaginent aujourd’hui les brigadiers de
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— que, le domaine de la production étant illimité, il n’y avait pas l
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igine. 74. On aura beau l’appeler « travail de
choc
». Ultime tentative pour faire aimer aux hommes une caricature du tra