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toire, l’homme d’aujourd’hui se voit contraint de
choisir
librement son avenir et celui de l’espèce humaine ; et il y est contr
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ffort civilisateur de l’Occident qui nous force à
choisir
notre avenir, et par là nous met en demeure de formuler une politique
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ar une crise qui remet ou met tout en question. ⁂
Choisir
librement son avenir veut dire : élaborer une politique, une conduite
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avenir prochain, soit parce qu’ils ne veulent pas
choisir
ses buts, soit parce qu’ils réduisent tout à la technologie. Ni les u
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entité philosophique. C’est ce qui nous permet de
choisir
, ordonne nos choix, et définit leur sens. Face à la Crise mondiale, n
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pement inclut la mort. Ainsi, par peur de mourir,
choisissons
-nous l’inertie minérale contre la vie, toujours mortelle. Le Progrès
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ence bourgeoise ou d’orgueil. Or il s’agit ici de
choisir
une politique, il s’agit donc de rigueur : penser juste devient plus
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u que l’on sache inventer, et qu’importe le genre
choisi
ou que l’on crée. Je dis que Théodore Strawinsky, lui, fait de la pei
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u prochain, et passant avant tout cela, s’il faut
choisir
. Car le profit n’est pas un principe de mesure pour l’homme, ni pour
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rnationales. Mais cela ne saurait la dispenser de
choisir
sa politique mondiale, et ce choix se pose entre la solidarité et l’é
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violence sur soi-même — ou sur le prochain. Sade
choisit
pour victime le prochain (Sacher-Masoch se choisira lui-même). Ses li
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hoisit pour victime le prochain (Sacher-Masoch se
choisira
lui-même). Ses livres ont la monotonie de l’obsession. Quant à ses va
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dénonce : elles régissent l’œuvre. Au surplus, il
choisit
parmi elles les plus propres à « justifier » l’arbitraire, la violenc
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c’est faire en réalité un choix de société. C’est
choisir
entre une société fondée sur la Production matérielle à tout prix, le
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ls à ne pas le voir ! Et c’est le moment que vous
choisissez
pour me poser vos colles de facultés ! Je souhaitais simplement savoi
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i et pour eux-mêmes dans le meilleur des cas. lls
choisissent
vite. S’ils ne veulent qu’un job, ils ne reviendront plus. S’ils se c
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compatibles dans les faits. Le temps est venu de
choisir
entre les deux, en connaissance de cause, bien sûr, mais plus encore
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té — locale, régionale, nationale — vers des fins
choisies
par un chef, un Parti, ou au contraire par l’ensemble des citoyens ap
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iberté ménage plus de possibles. Si en effet vous
choisissez
les moyens de la puissance, vous n’avez plus de liberté. Mais si vous
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ssance, vous n’avez plus de liberté. Mais si vous
choisissez
les moyens de la liberté, vous n’aurez peut-être plus besoin de la pu
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us n’aurez peut-être plus besoin de la puissance.
Choisir
les centrales nucléaires — quelle que soit leur définition, eau légèr
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du Ciel et de ses longs regards sur notre terre.
Choisir
les unités locales, voire familiales, d’énergie solaire, c’est restau
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use du type de croissance que les pays riches ont
choisi
pour eux. Ce type de croissance suppose nécessairement un pillage du
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essiez pas de jouer avec la politique sans jamais
choisir
votre camp. C’était une position délicate, inconfortable… L’inconfort
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s premières phrases de votre livre : « Si nous ne
choisissons
pas librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà
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e cette phrase est au conditionnel : « Si nous ne
choisissons
pas librement notre avenir, il arrivera…, etc. » Donc je n’annonce pa
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ois dans l’histoire, l’homme se voit contraint de
choisir
librement son avenir, du seul fait qu’il en a pour la première fois l
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ité se décidera en fonction de ce que nous allons
choisir
. Nous n’avons jamais été dans une situation aussi critique et c’est l
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, nous met au pied du mur. Nous voici condamnés à
choisir
notre avenir. Nous voici donc libres. Libres de laisser faire… Et c’e
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e plus que jamais. Tout est possible mais il faut
choisir
. » Ce n’est pas un homme à renoncer. Son acharnement à défendre l’Eur
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ur la première fois dans l’histoire, l’homme peut
choisir
son avenir, grâce à la technique. Les catastrophes ne tombent plus du
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ligés de s’incliner, non ? … Denis de Rougemont a
choisi
sa révolution. Pas de grands chambardements, pas de déclarations frac
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ont forts mais Rougemont les emploie : Si nous ne
choisissons
pas librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà
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é le 1er août 1954 à Meyrin, près Genève, au lieu
choisi
lors de la réunion fondatrice du 12 décembre 1950 au Centre européen
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s d’une région non d’une nation — soit subie soit
choisie
librement — c’est un homme de « l’Europe médiane », de cette ancienne
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confessions chrétiennes. Certes, peu d’entre nous
choisissent
leur confession, la plupart se contentent d’y être nés ; mais ils s’e
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t le service de la cité. Né ailleurs, mais, ayant
choisi
par une décision de ferveur — non moins profondément philosophique —
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ons et chez les individus, que les Rencontres ont
choisi
le thème du pouvoir. Le nœud du problème traité hier soir par Jeanne