1
. Le miracle, c’est que le plus sauvage génie ait
choisi
un être de cette espèce pour le tourmenter et le transfigurer. Vincen
2
aux ou chute irrémédiable. Peut-être pouvons-nous
choisir
encore entre un ressaisissement profond et la ruine. Mais certes, il
3
t de retrouver ces lois ; ils ne craignent pas de
choisir
parmi leurs instincts, ni de les améliorer 10. Tout ceci est assez no
4
llent les soupçons du « petit-bourgeois » qu’il a
choisi
comme public, et brusquement le mot éclate : menteur. Feintes et esqu
5
r ment, — pendant qu’il y est, il ferait mieux de
choisir
un autre pays que la Hongrie archi-connue, — le lecteur le sent vite,
6
niment baroque, à peine compréhensible, car on ne
choisit
pas un sujet : on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du
7
lie de Hölderlin que MM. Groethuysen et Jouve ont
choisis
et traduits à la suite des poèmes, ils ne sont pas ce que ce petit li
8
effet, que serait un lyrisme distingué ? Il faut
choisir
entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à ceux qui
9
ile. Cernant de toutes parts son sujet, M. Du Bos
choisit
des bases d’approche parfois si éloignées, et progresse par des voies